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Friday, February 10, 2012



par GHISLAINE P.

par Lorraine C.
Le TAC

Par LE DUKE

La télévision, la radio et les journaux traitent de plus en plus des troubles d’accumulation compulsive.

Les émissions Hoarding, Phobies, Désordre Émotif, etc traitent toutes de ce trouble anxieux.
Encore une fois pour améliorer la qualité de vie des personnes vivant cette problématique, un groupe de travail composé de pairs a été créé pour servir, aider les gens du grand montréal.
Les objectifs de ce groupe sont d’informer la population en général quant à cette problématique.
Puis de faire de l’éducation auprès des agents du milieu, c’est-à-dire : psychologues, travailleurs sociaux, infirmières en psychiatrie, les policiers, pompiers, propriétaires de logements, les services municipaux concernés, etc.

Enfin de créer un groupe où les gens vivant cette problématique pourront discuter entre-eux dans un milieu sécuritaire et confidentiel.

Ce projet est dans ses premiers balbutiments, donc à suivre.
Parole de L’ ESPACT :

Par Le DUKE

Depuis mars 2011, des personnes utilisatrices de service en santé mentale du Sud-Ouest se réunissent mensuellement pour l’amélioration des services et des conditions de vie de leurs pairs. Nous portons le nom d’ ESPACT (ESPACE DE PAROLE ET D’ACTION CITOYENNE EN SANTÉ MENTALE DU SUD-OUEST DE MONTRÉAL-
ici au CENTRE WELLINGTON

Les organismes Actions Autonomie, Impact, le Centre l’Autre Maison, Le Centre Wellington et le service résidenciel de l’Institut Douglas ont référé des personnes utilisatrices de service qui composent la première équipe de travail de l’ESPACT. Si vous souhaitez apporter votre contribution à la bonne marche de cette équipe, nous serions heureux de vous accueillir.

Pour plus d’information, vous pouvez contacter Catherine St-Germain au 514-766-0546 poste 2383.
Chers lecteurs du Wellington Sun ou Soleil de Wellington,

Par Nathalie S.

Hier, mardi après-midi, le 7 février 2012, entre midi et vingt-heures, l’UQAM offrait ses portes ouvertes au grand public. Je m’y suis rendue pour m’informer sur mon champs d’intérêt, soit la création littéraire. J’ai d’abord fait face à cette université immense et splendide. Les gens étaient fort sympathiques et courtois. J’ai même assisté à un atelier-conférence sur les prêts et bourses ou j’ai obtenu des précisions à ce sujet. Je sais maintenant que je ne suis pas éligible à un prêt gouvernemental ou universitaire.

De plus, j’ai rencontré Alexandre à quelques reprises. Il est en troisième année de fac en sociologie. Très aimable et galant, il m’a séduite. Somme toutes, j’ai adoré ma visite sur ces lieux immenses, mes nouvelles rencontres fortuites et l’ouverture de celles-ci. Sans oublier leur forme et leur niveau de langage auxquels je me suis rapidement connectée.
Alain chez les GBUC

Par Alain Daigneault

«- Fais ce que j’te dis : lève-toé, pogne ton grabat, pis retourne-toé-z’en chez vous...»
C’est comme ça que Richard Ouellette nous a lu le 2e ‘boutte’ à Ti-Marc hier (mardi le 7 février) au café La Retenue à l’université de Montréal.

Richard est un artiste qui s’implique chez les GBUC (groupes bibliques universitaire et collégiaux) depuis belle lurette et il est arrivé à me parler de «Jéchoua» dans un langage qui me rejoint tout simplement. En fait, comme l’intention de Marc était d’être traduit en langue grec que tout le monde comprend, Monsieur Ouellette a traduit l’épitre de Marc en bon Québécois.
J’ai vraiement passé une belle soirée avec mes nouveaux amis.